Somewhere in Berkeley and in Boston and in Bujumbura,
someone lights a chalice, and its light shines on freedom;
Somewhere in Kansas City and in Kolozsvar and in Kampala,
Someone lights a chalice, and its light illumines truth;
Somewhere in Tierra del Fuego, and in Tulsa,
and in Honolulu and in Havana,
and in Nashvilleand in Nantucket and in Nairobi,
Someone lights a chalice, and love is made visible.
Today, we light this chalice and hold in memory,
the many chalices whose steady flames hold us.
proposée par Rosemary Bray McNatt,
de l'Unitarian Universalist Association of Congrégations (UUA, lien)
Quelque part à Berkeley et à Boston et à Bujumbura,
Quelqu’un allume un calice, et cette flamme veille sur la liberté ;
Quelque part à Kansas City et à Kolozsvar et à Kampala,
Quelqu'un allume un calice, et sa lumière illumine la vérité ;
Quelque part dans Tierra del Fuego, et à Tulsa,
et à Honolulu et à La Havane, et à Nashville et à Nantucket et à Nairobi,
Quelqu'un allume un calice, et l'amour devient visible.
Aujourd'hui, nous allumons ce calice et conservons en mémoire,
les nombreux calices dont les flammes constantes nous tiennent debout.
traduit en français par Jean-Claude Barbier,
Assemblée fraternelle des chrétiens unitariens (AFCU, lien)